
We are searching data for your request:
Upon completion, a link will appear to access the found materials.
Le marais. 72,5x99
Reisdal (1628 / 29-1682) était le plus grand peintre paysagiste de son temps. De petites figures agiles chargent ou déchargent des navires, chassent dans les forêts, remplissent les rues des villes et des villages. Mais il existe d'autres œuvres de peinture de paysage, incarnant un moment de généralisation philosophique. Parmi ces toiles se trouve le «marais».
Le tableau représente la partie désertique de la forêt, inondée d'eau. Des arbres puissants et légèrement tordus précipitent leurs magnifiques couronnes vers le ciel, mais certains de ces géants sont déjà des troncs morts, dépourvus de feuilles. Un tel chêne puissant et autrefois magnifique qui est tombé dans un marécage sur le côté droit de la toile, son voisin essaie toujours de résister au sort, et autour d'eux une forte pousse se développe. Les eaux sombres du marais sont immobiles, mais presque toute leur surface est recouverte du vert clair des fleurs de nénuphars. Seule la famille bruyante du canard sauvage viole le calme et le silence de la vieille forêt. Les rayons du soleil pénètrent à peine dans le fourré et seuls de petits reflets de lumière jouent à la surface de l'eau. Les chênes centenaires et les jeunes arbres incarnent la nouvelle génération en voie de disparition, ancienne et naissante. L'image acquiert donc une signification symbolique cachée, dans laquelle réside son contenu philosophique.
Message excellent et opportun.
En elle quelque chose est. Maintenant tout est clair, merci pour l'information.
Mon avis est élargi de A à Z